Les enquêtes se poursuivent pour élucider le crime du président d’Haïti, Jovenel Moise, qui a été assassiné en juillet et a fini par être lié à l’affaire par d’anciens militaires colombiens qui nient l’avoir tué et soutiennent qu’ils étaient dans ce pays pour fournir des services de sécurité.
Alors que la vérité derrière l’assassinat a été découverte, le soldat colombien, Mario Antonio Palacios Palacios, a apparemment été capturé en Jamaïque jeudi, qui a été inculpé dans l’affaire et était recherché par les autorités après avoir fui Haïti au milieu de la mort du président haïtien. .
Dans une interview avec La FM, Stephany Lindsay, de la Surintendance de la police jamaïcaine, a rapporté qu’ils avaient en leur possession un homme – il n’a pas donné son identité, précisant qu’ils attendaient de confirmer ses données – que lorsqu’il a été capturé, il n’avait aucun document en sa possession pour confirmer qui il est.
« Il y a un homme que nous avons en garde à vue qui serait la personne en question, car il n’avait aucun document que nous attendons pour confirmer son identité », a-t-il déclaré.
Il a également parlé des voies diplomatiques avec les autorités colombiennes pour s’assurer que le détenu est la personne qu’ils recherchaient et pour déterminer s’ils devaient l’expulser vers la Colombie.
Il a souligné que l’identité et la nationalité doivent d’abord être vérifiées et ensuite ils analyseront le processus qui doit être suivi après le dialogue avec les autorités colombiennes.
Concernant les détails de sa capture, il a seulement indiqué qu’il avait été arrêté par le Département jamaïcain du crime organisé, qui ne sait pas où il était caché et a souligné qu’il était en bonne santé.